HISTOIRE DE v COMMUNIQUé PAR MASMCAT , vous le trouiverez aussi dans témoignages de masmcats dans temoignage placement abusif
Créée pour défendre les droits des enfants et de leur famille face aux Institutions, qui ne respectent ni les lois françaises, ni les engagements de la France liés à l’application de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant, l’Association XXXXX a l’honneur et le devoir de vous signaler la situation d’une enfant placée abusivement.
V. M-F a été placée en Institution sociale en 2002 à l’âge de 7 ans de façon illégale
- il n’y avait pas de greffier à l’audience
- sans motivation rapportée de la juge pour enfants
- sans enquête de proximité
Les services sociaux et du lieu de placement ne donnent aucune garantie fiable, d’un encadrement sérieux, ni sur l’éducation, ni sur le suivi scolaire, ni sur l’équilibre et l’épanouissement de l’enfant en ne répondant pas à ses vœux de poursuivre ses loisirs antérieurs, ni sur l’application de soins médicaux appropriés, lui interdisant la poursuite d’un suivi psychologique entamé depuis 2 ans avant son placement, (et laissant une attente de 2 ans avant la reprise d’une psychothérapie qui s’est avérée indispensable), ni sur la sécurité de la vie quotidienne de l’enfant, en comparaison des conditions de vie dont V.bénéficiait quand elle vivait dans sa famille.
1/ V. voit son droit à être assistée bafoué, son avocate ne prenant pas sa défense, ne rapportant pas ses demandes, ne la rencontrant que rarement. V. a demandé un changement d’avocat qui lui a été REFUSE (article français n°)
V. aura 12 ans cette année, elle est mature et capable de discernement : Article 12 du CIDE, + article français n°
2/ En ce qui concerne sa santé : refus ou insuffisance des services sociaux d’assurer un suivi médical approprié (vaccinations abusives, non suivi d’un traitement médical prescrit par son médecin de famille depuis la naissance, traitements antidépresseurs, hospitalisations, interventions de médecins et pompiers, tentatives de blessures volontaires liés à son profond désespoir depuis son placement en institution
Les droits de la mère titulaire de l’autorité parentale ne sont pas respectés elle n’est informée que rarement ou par hasard, des problèmes de santé de sa fillette
Article 3 et 24.
Des médecins ont signalé par courrier au Juge pour enfants, l’urgence pour la santé physique et psychologique de V. à revenir vivre chez sa maman.
3/ En ce qui concerne la sécurité de l’enfant, V. a été oubliée plusieurs fois à la sortie de l’école et sur un parking hors de la ville au retour d’un camp de vacances. L’enfant est insuffisamment surveillée pour sa sécurité : Article 3
4/ Violation au principe d’avoir une famille et de vivre avec elle : Article 9
V. a été séparée de sa mère et l’est toujours contre son gré.L’intérêt supérieur de l’enfant n’est pas pris en considération malgré ses demandes réitérées de rentrer chez sa maman. V. n’est pas entendue, elle ne peut avoir de contacts avec sa famille : Article 9
Outre les précédents points relatifs à l’article 9 cités précédemment, les relations personnelles et les contacts directs ont été arbitrairement interrompus par l’ASE durant, (le personnel pénitencier en étant lui-même outré) et à l’issue d’une détention abusive de la mère pendant 3 mois (malgré une décision judiciaire de relaxe sur cette peine). Les services de l’ASE ont, à ce moment là, interrompus la rééducation d’une entorse et la psychothérapie (imposées par le juge) de V., alors qu’elle était plus que jamais nécessaire en raison de la longue séparation avec sa mère.
Non-respect du droit de la mère de suivre le travail scolaire de son enfant (article loi éventuellement celui du code français
5/ Refus des services sociaux de prendre en compte certains souhaits de V.:
L’Ase a refusé le choix de V. de sa 1ère langue étrangère (allemand) à son entrée au collège (elle l’a inscrite d’office dans un collège ne l’enseignant pas)
Les absences scolaires relativement fréquentes ne sont pas notifiées à la mère, les relevés de notes ne lui sont pas adressés.
Pour ses loisirs, pas d’écoute des désirs de l’enfant (cheval, chant choral, piano) Article 5 et 29 1A
Non respect de sa vie privée6/ Surveillance des communications téléphoniques, on lit le courrier qu’elle reçoit et « disparition » dans sa chambre des courriers qu’elle prépare (dernièrement, elle avait écrit un courrier au juge pour enfants en lui rappelant sa volonté de rentrer chez sa maman..) Article 16.
7/ La mère de V. a toujours été consciente de son devoir de parent et pris ses responsabilités inhérentes à l’éducation et au développement de l’enfant. Sur les recommandations du juge, elle se présente à un organisme de médiation (Ecole des parents)
Si une aide lui aurait éventuellement été nécessaire, l’ASE s’acharne au contraire à l’éreinter et met tout en œuvre pour l’évincer, l’empêchant de participer comme elle le souhaite à la vie de son enfant (santé, scolarité, loisirs) Article 18 -1 et 2
Pour la mère, c’est un combat permanent pour ne pas être évincée totalement de la vie de son enfant qui compte sur elle, la réclame sans cesse. La maman a toujours eu son logement personnel et toujours subvenu aux besoins de V. (affectifs, écoute, loisirs, matériels)
Les services sociaux s’indignent de ce que V. proclame qu’elle a des DROITS. A la lecture des 10 points clés de la CIDE, Véronique s’est d’ailleurs exclamée »au moins 6 de mes droits ne sont pas respectés »
V. et sa maman souhaitent voir la Convention Internationale